6 juillet - Lacrimations et messages à Sœur Agnès Sasagawa Katsuko à Akita (Japon) de 1973 à 1981, reconnus par Mgr Ito en 1984

Au Japon, la Vierge en larmes insiste, inlassablement

Les apparitions au Japon en 1973 et celle d’Amsterdam en 1945 ont un point commun. Ces deux apparitions sont liées à un miracle eucharistique qui donne la preuve formelle de la transsubstantiation, à savoir que le sacrifice ultime du Christ se rejoue tous les dimanches à la messe, comme l’a proclamé le concile de Latran IV en 1215.

1973, date des apparitions d’Akita, est d’ailleurs l’année où le plus ancien miracle eucharistique connu, celui de Lanciano (Italie), a été reconnu par une équipe de scientifiques des Nations-Unies. Quant à Amsterdam, fief protestant hostile à toute idée de transformation du pain en corps du Christ, la Sainte Vierge dit elle-même qu’elle l’a choisie pour être LA ville du Saint Sacrement (message du 20 mars 1953) !

Notre Dame a de la suite dans les idées et s’y prend à l'avance avec nous. Dès le 15 mars 1345, soit 600 ans avant l’apparition de Notre Dame de tous les Peuples à Amsterdam, un autre miracle eucharistique se produisait dans la même ville ! Un mourant, Ijsbrand Dommer, qui vient de communier, vomit l’hostie consacrée. Celle-ci est alors jetée au feu, mais les gens présents ont la surprise de voir l’hostie intacte en suspension au-dessus des flammes. Elle sera finalement recueillie et portée solennellement en procession à l’église.

Le miracle est reconnu par l’évêque d’Utrecht en 1346 et commémoré chaque année, mais, en 1578, la municipalité devenue protestante interdit toute procession. Elles continueront malgré tout mais en silence. Or, c’est une copie de la statue de la Vierge d’Amsterdam qui suscite les événements d’Akita, dans le couvent des Sœurs de l’Eucharistie. Au Japon, la Vierge en larmes insiste, inlassablement. Elle souhaite faire comprendre dans un message à Sœur Agnès Sasagawa que le Christ est « réellement » présent dans l’Eucharistie, comme si plus personne n'y croyait…

À Akita, Notre Dame explique, insiste sur les souffrances de Son Fils qui nous permettent d’être encore en sursis. « J’ai empêché la venue de calamités en offrant au Père les souffrances endurées par le Fils sur la croix… »

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