28 mai – Italie : Notre Dame de Carmine (1663)

La force du chapelet de combat

J’ai commencé à fumer il y a six ans. Les trois dernières années, je fumais l’équivalent d’un paquet par jour. À la fin de l’année dernière, j’ai perdu ma petite sœur de 22 ans d’une maladie. J’ai énormément fumé sur cette période de manière compulsive, jusqu’à 3 paquets !

Un mois avant la mort de ma sœur, ma mère a découvert, au gré de ses lectures, un article parlant du chapelet de combat. Elle m’en a parlé et l’idée d’en avoir un m’a tout de suite enchanté ; je cherchais en effet à me détacher de cette addiction, en vain. La découverte de ce chapelet de combat était donc providentielle !

Mes parents ont décidé de m’en offrir un. N’habitant pas dans la même ville que mes parents, je le reçus par la poste. On était en novembre. Mon père spirituel étant absent pendant deux mois, j’ai dû attendre jusque fin janvier afin de pouvoir le faire bénir. Comme il est aumônier militaire, il était important pour moi que ce soit lui qui le bénisse. Après avoir patienté presque trois mois, j’ai enfin pu l’utiliser.

Un lundi soir, je priais le Rosaire devant le Tabernacle avec les instructions du chapelet de combat pour guérir d’une dépendance. À deux heures du matin, j’ai jeté mon dernier paquet de cigarettes et je n’y ai pas retouché. Je n’ai eu aucune difficulté à arrêter de fumer : pas de manque de sommeil, pas de stress, pas de déprime. Je fus le premier surpris !

Cela fait désormais un peu plus de sept mois que je me suis débarrassé de cette addiction et j’ai l’impression de n’avoir jamais fumé. Je rends grâce à la Sainte Vierge d’avoir intercédé pour moi. 

Témoignage de John

Marie Reine

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