26 juillet - Sainte Anne et saint Joachim, parents de la Vierge Marie

« Avant, je priais le chapelet en allant au travail »

Si la pandémie de coronavirus a obligé les gens à rester chez eux la majeure partie de la journée, elle a aussi offert de nombreuses occasions d'approfondir sa foi par la prière, la méditation, la lecture de la Bible et d'autres activités semblables.

Pour René Herrera, vivant à Phoenix en Arizona (États-Unis), cette période a initié une dévotion au chapelet de la Miséricorde Divine qu'il espère continuera à vie pour ses deux enfants. « Je prie le chapelet de la Miséricorde Divine tous les matins avant d'aller travailler », explique René, qui est également musicien à la paroisse Notre-Dame du Perpétuel Secours à Glendale. « Maintenant, nous avons du temps ici à la maison. Cela nous a encore plus ancrés dans la prière. Nous en profitons pour mettre la prière au centre de tout, en aménageant notre temps – ce que je ne faisais pas quand je travaillais. »

Le moment de trois heures de l’après-midi est considéré comme important, car c'est l'heure qui rappelle la mort de Jésus sur la croix et celle où Dieu, dans ses révélations à sainte Faustine, a demandé une prière et une méditation spéciales sur sa Passion chaque après-midi. « Immerge-toi tout entière au plus profond de ma miséricorde ! »

Le 3 avril, les Herrera ont pris chacun un chapelet et ils se sont agenouillés autour d'une grande table basse. Les enfants ont commencé par offrir leurs intentions pour la fin de la pandémie mondiale, la guérison et le réconfort de ceux qui souffrent ou qui ont des parents ou des amis malades. Chaque membre de la famille a ensuite prié à tour de rôle, notamment en récitant les mystères douloureux du Rosaire (prescrits pour le vendredi), et en terminant par la « Prière à saint Michel Archange », et le chapelet de la Miséricorde Divine. « J'aime bien prier. Je sais que Dieu m'entend », dit son fils Maximus en souriant.

« Avant, je priais le chapelet en allant au travail ou en revenant du travail. Maintenant, avec la famille, c’est passé à un niveau supérieur. Cela nous aide à grandir ensemble. C'est assez impressionnant », dit ce père de famille qui ajoute : « La prière est puissante. »

Adapté d’un article de Jeff Grant, le 9 mai 2020

The Catholic Sun

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