3 novembre – Italie : Sainte Vierge du Suffrage

Je ne pensais pas que le Rosaire avait un tel pouvoir !

Quelques années avant le génocide au Rwanda, Notre Dame avait dit aux jeunes visionnaires de Kibeho que si les gens se réunissaient dans leurs villages et priaient le chapelet pour la paix au Rwanda, l’évènement terrible à venir (le génocide) ne se produirait pas. Malheureusement, le peuple rwandais ne l’écouta pas. En 1994, un génocide fut lancé contre la tribu des Tutsis et plus d'un million d’entre eux furent massacrés. Tout le monde dans le pays fut touché d'une manière ou d'une autre. C'était l'une des pires choses qui pouvait arriver.

« La première fois que j'ai découvert le pouvoir de la prière du Rosaire, témoigne Immaculée Ilibagiza (1), je terminais l'école primaire et j'essayais d'obtenir une bourse pour aller dans un bon lycée. J'ai réussi les examens mais je n'ai pas reçu de bourse. Je suis donc allée dans une autre école privée mais mes parents avaient du mal à payer les frais de scolarité.

Cependant, deux ans plus tard, j'ai eu une autre occasion de faire une demande de bourse pour une meilleure école. J'ai passé les examens et cette fois j'ai obtenu la bourse pour l'école que mes parents et moi voulions. J'étais super heureuse mais ce qui m'a rendu encore plus heureuse, c'est ce que mon père nous a raconté par la suite. Il nous a dit que pendant deux ans, il avait récité le Rosaire entier tous les jours - quinze dizaines – pour demander à la Vierge d'intercéder pour moi et de m'accorder une bourse. Il lui a également demandé de bien vouloir me faire entrer dans l'école qu'il voulait. J'ai reçu absolument tout ce que mon père avait demandé dans ses prières !

Je n'avais jamais pensé qu’on pouvait réellement prier pour une intention personnelle et avoir un tel pouvoir grâce au Rosaire. Depuis lors, j’ai développé un amour particulier pour la prière du chapelet. Je sais qu’avec cette prière je ne perdrai jamais espoir. »

Adapté d'une lettre d'Immaculée, août 2019

(Immaculée Ilibagiza est une survivante du génocide rwandais. La quasi-totalité de sa famille, y compris son père, a été brutalement tuée. Elle vit aux États-Unis et propose des retraites pour enseigner le pardon.)

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