25 juin - Italie. Forli, Notre Dame des Grâces (1548)

L’examen scientifique des extases des voyants de Medjugorje (II)

Les électro-oculogrammes réalisés sur les mêmes voyants concluent aussi à des résultats très étonnants : les électrodes placées près du bord des yeux permettent de suivre les mouvements (volontaires ou non) des globes oculaires. L'étude fut effectuée chez deux jeunes en simultané (Maria et Ivan). Les différentes saccades habituelles à l'état de veille (même quand on décide de fixer son attention) s'arrêtent quasi simultanément en début d'extase. Elles reprennent dès la fin de celleci. Ce résultat souligne une fixation du regard plus puissante que la volonté propre. La simultanéité est aussi remarquable : l'apparition débute et se termine au même moment pour tous. Les simultanéités sont remarquables. Ils s'agenouillent soudain en même temps, selon l'étude méthodique faite par Mme Joyeux, sous la direction du professeur Henri Joyeux. La synchronie tombe parfois au centième de seconde près, ce qui contribue à exclure toute possibilité d'un signal extérieur. Ils prononcent en même temps le troisième mot du Notre Père « qui êtes aux cieux », qu'ils récitent ensemble jusqu'au bout, avec la Vierge. On leur a demandé : « Pourquoi ne dites-vous pas les deux premiers mots : "Notre Père" ? - C'est la Gospa qui entonne, et nous enchaînons avec elle. » Ainsi tout cela semble confirmer qu'une cause extérieure à eux-mêmes (et invisible pour les observateurs) déclenche ces différentes phases de l'extase, sans qu'aucune explication psychologique ou neurologique ne tienne. Cette étude à Medjugorje est remarquable et constitue sans doute une première médicale en matière d'extase. La neurologie s'arrête à ces constats inexplicables.

S'abonner est facile, se désabonner également
N'hésitez pas, abonnez-vous maintenant. C'est gratuit !