27 avril - .Apparitions éclatantes à Zeitoun entre le 27 avril et le 15 juin 1968 - Notre-Dame de Vilnius (Lituanie)

Les apparitions de Grouchiv (Ukraine) du XVII° au XX° siècle (II)

Né en 1943 Josyp Terelya fut élevé par sa grand-mère maternelle, ardente catholique. Il devient militant d'action catholique et fervent adorateur de l'eucharistie. Mais, fiancé, à l'âge de 19 ans, il est incarcéré pendant 15 ans (1962-1976). Lorsqu'il revient après tout ce temps, sa fiancée qui l'avait attendu peut l'épouser enfin. Josyp confie alors les deux apparitions de la Vierge qu'il eut durant son incarcération. Le 12 février 1970, dans la prison de Vladimir, à 165 km au nord est de Moscou, la Vierge lui apparaît et l'invite au pardon inconditionnel, plus spécialement envers ses ennemis, les Russes moscovites. Elle lui fait aussi cette prédiction : « Vous avez encore devant vous des années d'épreuves et d'humiliation. La Russie reste dans l'obscurité et dans l'erreur. Jusqu'à ce que le peuple se repente et accomplisse l'Oeuvre de mon Fils ; il n'y aura pas de paix, car la paix ne peut venir que là où il y a justice. Priez pour vous ennemis, oubliez-les, et une route de lumière s'ouvrira devant vous. » Une seconde apparition a lieu deux ans après : « Le 12 février 1972 (...), j'étais au secret. La chambre était glaciale à mourir ; je souffrais jusqu'à la racine des cheveux. Une lampe en suspension éclairait dans ma chambre. J'enlevai le manchon et me chauffai les mains ; mais le gardien me vit par le judas. Il éteignit la lumière. (...) Je ne pouvais bouger aucun membre. Je me suis couché sur le lit pour mourir. A ce moment, je sentis le contact chaud d'une main de femme, douce comme du lait. J'étais réchauffé. Je sentais de la chaleur dans la pièce. Je pensai que j'étais halluciné ou en train de mourir. Mais alors, j'entendis la voix : « Vous m'avez appelée, et je suis venue vers vous. Vous ne croyez pas que c'est moi ? » Alors je vis devant moi une jeune femme. Cette première fois, elle me dit : « Vous n'allez pas être libéré de cette prison ; vous n'avez fait que la moitié du chemin, mais ne craignez rien, je suis avec vous. »

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